Une armée de machines voulant détruire la race humaine envoie pour ce faire un robot dans le passé dans le but d’éliminer le seul être humain qui pose problème en organisant la résistance : John Connor. Les humains, apprenant le stratagème, envoient également dans le passé un homme pour protéger John Connor. Sauf que la machine à remonter le temps ne peut transporter que la matière organique dans le passé (donc il arrive tout nu).
Ce pitch vous plaît ? Tant mieux, c’est précisément celui du cultissime Terminator, que l’Odieux Connard et moi-même nous sommes employés à démonter dans la vidéo qui suit.
(Regardez directement sur Youtube pour une meilleure qualité.)
Si vous traînez ici depuis un moment ou sur le net en général, vous connaissez probablement l’Odieux Connard.
Si vous ne connaissez pas : sous cet aimable sobriquet se cache un blogueur qui s’emploie à raconter et démonter chirurgicalement les absurdités qu’il trouve dans les films, les médias ou dans les faits de sociétés plus généralement.
Il se trouve qu’il publie un second livre, en papier et tout, qui sortira tout bientôt. Et pour l’occasion, nous avons réalisé une vidéo-dessinée reprenant l’un des chapitres dudit livre. Tant qu’à faire, allez lire l’article de son blog qui explique tout ça aussi bien voire mieux que moi.
Pour les impatients, la vidéo est ici, là, juste en dessous. Voilà.
(Même chanson que d’habitude : regardez directement sur Youtube pour avoir une meilleure résolution)
Bien entendu, nous réitèrerons l’expérience si des milliards de personnes voient la vidéo, l’aiment, la partagent, nous couvrent de fric et de coke et me présentent personnellement Scarlett Johansson. Mais je m’égare.
Amis de l’internet, bien le bonjour.
Baroudant ici et là au gré du vent et de mes humeurs, j’ai atterri ce samedi dans un lieu bigrement particulier : Selles-sur-Cher. Charmante bourgade ne payant pas de mine, le lieu accueillait un événement aussi étrange que sympathique : le festival des Geek Faëries. Oui, j’ai dit « Geek », ne partez pas, voyons, attendez un peu ! Parce que si le geek a beau être mystérieux, différent et baveux au premier abord, il n’en reste pas moins extrêmement agréable en général quand il daigne s’éloigner de son PC watercoolé à 86 Go de RAM et 32 cœurs de processeur.
Votre aimable serviteur a donc eu la chance d’assister à des combats d’épéistes (avec de vraies lames en métal), des concerts d’ocarina (avec de la vraie musique) ou encore des matchs de Quidditch sur gazon (avec de vrais gens qui volent sur des balais).
Non vraiment, regardez sur Youtube un match de quidditch. C’est assez formidable.
L’ambiance était ainsi très bonne, et elle le fut plus encore lorsque j’ai pu croiser le blogueur l’Odieux Connard. Présent au festival à l’occasion de la sortie de son livre (que je vous conseille), j’ai pu le rencontrer, papoter et assister à sa conférence (enfin plutôt un échange avec le public) qui valait son pesant de pistaches. Tout ça pour dire que… Ben que j’ai fait deux nouveaux dessins tirés de son univers (qui, je le rappelle, est composé principalement de démontage de mauvais films, d’annihilation de blogueuses mode et de GHB dans les verres de demoiselles peu farouches avant de les enterrer dans un sous-bois).
Allez donc voir le blog du monsieur, vous passerez un bon moment et perdrez probablement votre innocence.
Pour ceux qui veulent en savoir plus sur ces Geek Faëries, rendez-vous sur leur site.
Mais assez de blabla, place aux gribouillis.
Il paraît que les adolescentes dégénérées font un excellent engrais naturel. A tester.
Le second est tiré d’une imitation de l’Odieux de ce à quoi doit ressembler l’écriture d’un scénario à Hollywood pendant la conférence. J’ai repris l’idée et ça a donné ça.
Des couleurs faites à la main. Enfin au feutre, vu que mes doigts ne génèrent pas encore d’encre de couleur naturellement. J’en connais quelques unes qui auraient trouvé ça problématique.
Et voilà, vous savez tout sur ce samedi fou.
Si certains sont intéressés, j’avais fait d’autres dessins pour l’Odieux Connard, visibles ici en fin d’article et là.
Un autre gribouillis arrivera dans la semaine si tout va bien, étant donné que le voyage en train m’a permis d’être productif. C’est le bon côté d’être incapable de dormir dans les transports.
Je vous laisse, j’ai un café sur le feu.