Aujourd’hui, une simple vidéo d’un gribouillis fait directement à l’encre, pour ne pas perdre la main en ce mois d’août vacancier. À bientôt les aminches !
vieux
S’il vous plaît, redessine-moi un vieux gribouillis
Chers amis du web, bien le bonjour.
Aujourd’hui, je vous propose un exercice qui peut être formateur pour celui qui s’y essaye, comme totalement déprimant : le remake. L’idée est de prendre un vieux dessin, fait il y a quelques années, et de le refaire aujourd’hui avec les moultes capacités acquises entretemps.
Ici, j’ai choisi un dessin qui représentait ma version personnelle du Petit Prince, réalisé en mai 2008. Le voici.

Allez savoir pourquoi, j’ai décidé de me refaire ce petit gribouillis, à la sauce juillet 2015. La composition de l’image était selon moi trop centrée et quelques éléments, comme les fissures de la planète, ne me semblaient pas satisfaisants. Alors voilà le gribouillis d’aujourd’hui. (Cliquouillez pour agrandir)

Alors je vois déjà venir les petits malins : « haaaan mais moi je préférais le premier, il y a une meilleure ambiance et un aspect feutré / pastel enfin je ne sais trop quoi de mieux ! ». Cette remarque est déjà parvenue jusqu’à mes chastes oreilles, et votre avis m’intéresse donc. Alors, 2008 ou 2015 ? Pour vous aider à aiguiser votre avis, voici les deux gribouillis côté-à-côte.

Darwin lui-même serait dépassé par tant d’évolution.
Voilà donc pour aujourd’hui les amis ! Non, pas de sang, pas de fureur, pas de pious. Laissez-moi tranquille un peu ! Je me soigne ! Une prochaine BD bien cynique et furieuse devrait arriver la semaine prochaine si les fêtes de Pampelune ne m’emportent pas en enfer. Rassurez-vous donc. D’ici là, bon vent à tous !

Mot d’excuse
Chers lecteurs, chères lectrices et chers transexuels,
L’auteur de ce blog est actuellement occupé par une semaine quelque peu chargée. Il n’y aura donc pas de nouvelle BD ici avant la semaine prochaine, si tout va bien.
Pour me faire pardonner, veuillez cependant accepter cette vieillerie sortie du placard : une petite histoire muette que j’avais réalisée à l’époque, en 2006, pour un fanzine dont les survivants se comptent sur les doigts d’une main (ou d’un pied, c’est selon).
Nature, enfance et gaieté se mêlent dans ces quelques pages qui raviront les bambins avant d’aller dormir, à n’en pas douter. A la semaine prochaine, donc.
C’est terminé ! A bientôt pour une nouvelle histoire folle, l’histoire mystérieuse qui est arrivée à votre serviteur lors d’une récente soirée : l’histoire fascinante de Patrick Gérard.
Je vous laisse, c’est l’heure de la débauche.