Cher internautes, lecteurs et lectrices de tous horizons ou vagabonds égarés dans ces contrées pour je ne sais quelle raison plus ou moins saine, il est venu le temps de clôturer cette année 2016 qui a bien fait son temps.Tâchez de survivre à ces derniers jours, hein, parce qu’entre guerre civile par ci, génocide de chanteurs / stars de notre enfance par là ou encore attentats saupoudrés ici et là, ça devient compliqué, cette affaire. Heureusement que le Papa Noël a apporté des chocolats. Ça aide.
Je vous laisse ainsi en compagnie de quelques gribouillis postés sur les réseaux sociaux ces derniers temps, pour ceux qui les auraient loupés ou qui n’auraient pas encore de compte Facebook / instagram / Tinder / Twitter (quoi ? Vous n’êtes pas encore connectés au monde entier, l’œil vissé à l’écran et la bave pendouillant à votre lèvre et votre narine droite ? Fichtre).
Plusieurs projets sont déjà dans les starting-blocks comme toujours, notamment des gags sur la vie de Jean-Léopold, notre terroriste adoré ou encore des trucs qui blesseront votre âme d’enfant comme jamais auparavant. Ne prenez pas cet air surpris, vous savez très bien qu’ici, on s’emploie à éradiquer toute trace d’innocence.
Nous continuerons également à jouer, vous savez qu’ici on adore ça, plus particulièrement au jeu des trois mots, dont le dernier-né apparaît ci-dessous sous votre air ébahi par tant de merveilles, c’est trop, non vraiment, n’en faites pas tant, vous me faites rougir.
Les trois mots choisis par une mystérieuse lectrice basque étaient Licorne, Esquimau et Baobab.
Souhaitons à chacun plein de bonnes choses, ne soyez surtout pas sages, soyez têtus et bornés à outrance tant que vous écoutez les autres, dites les choses et révoltez-vous sans jamais vous arrêter.
Je vous laisse, j’ai un café sur le feu.