Aujourd’hui, nous abordons un thème parfois un peu flou. Suivez les gribouillis !
Sur ce je vous laisse, à bientôt pour de nouvelles joyeusetés !
Chers lecteurs, chères lectrices, il est temps de faire un point. Ces derniers temps, depuis début mai pour être précis, il y a moins de bandes dessinées « bloguesques » (c’est-à-dire toutes en longueur, comme on fait ici d’habitude), mais ça ne bosse pas moins pour autant, juste que l’activité est plus accrue sur les réseaux.
Bon, je glande un peu aussi à côté de ma table à dessin à l’occasion, mais n’allez pas me les casser, j’ai bien le droit. Nom d’une poutre tombée sur un nourrisson.
Les réseaux, parlons-en ! La chaîne Youtube a atteint récemment plus de 1000 abonnés, notamment grâce à la vidéo réalisée avec l’Odieux Connard, ou la dernière venue, « Comment bien dessiner un politicien…« . Une bonne chose, donc, qui nous rapproche à grand pas de la conquête de la galaxie.
C’est sur la page Facebook que ça s’emballe un peu ces derniers temps, notamment par le biais de dessins de dragons. Une lubie passagère ou un fétichisme étrange de ma part, je vous laisse choisir. Je vous les mets du plus petit au plus grand.
Bonus à ce dessin : un piou sur la tête de Krillin.
Alors bien sûr, on s’intéresse aussi aux choses sérieuses comme la politique, la crise sociale en France et l’éducation des enfants. Voyez plutôt.
Et ça peut même parfois tourner à l’anarchie totale lorsque les lecteurs viennent se mêler de mes histoires.
On remercie le sieur Jo’Reeman pour son intervention spontanée lors de la publication du dessin.
Et pour finir il arrive également, dans des accès de folie ou d’égarement de mes neurones, que je fasse des trucs étranges comme dessiner Rondoudou, alpaguer des gens sur Snapchat en leur envoyant des dessins au hasard ou encore regarder la nouvelle émission d’Arthur (avant de fuir rapidement m’injecter du ciment dans les yeux).
Vous êtes désormais à jour sur mes activités wébiques, il y a toujours des projets en cours, donc passez par ici à l’occasion.
Ah oui, et j’oubliais : moi aussi, j’ai décoré ma photo de profil perso facebook avec les filtres photo personnalisables. Allez les bleus.

Ils sont partout, dans tous les médias, ils parlent, marchent, disent plein de choses étranges et que personne ne comprend vraiment : les politiciens sont plus que jamais au cœur de nos vies.
Mais ces braves bêtes, comment les dessine-t-on, d’abord ?
Suivez le guide ! En vidéo s’il vous plaît.
Comme d’habitude, vous pouvez regarder sur Youtube directement pour avoir une meilleure résolution.
Vous savez désormais comment tirer au bazooka dans la tronche de nos ministres les traits de nos chers politiciens adorés.
À bientôt pour de nouvelles aventures !
Qui n’a jamais chantonné de petites comptines à ses charmants bambins pour tenter (vainement) d’atténuer leurs cris et râles maléfiques ? Avouez-le, vous vous êtes déjà adonné à cette pratique.
Alors qu’il suffit en général, comme je ne cesse de le répéter, d’un bon coup sec sur la nuque pour calmer le marmot. Mais passons.
Nous avions déjà traité la chanson de la souris verte et ses paroles improbables ou encore de l’univers particulier de Frère Jacques, ci-dessous.

Aujourd’hui, continuons dans notre lancée et attaquons-nous promptement et avec entrain à cette chère alouette, si gentille alouette.
Alors assez de blabla et place aux gribouillis !
Et voilà ! Ah, je ne sais pas vous, mais moi, les comptines, ça me donne la patate.
En bonus aujourd’hui : Un petit gribouillis fait à l’occasion de la mouvance webique « Art vs artist » qui fleurit sur la toile depuis quelques jours. Vous trouverez tout plein d’exemples en cliquouillant ici.
Le principe : faire un petit montage en neuf cases avec au milieu une photographie de la tronche de l’artiste et, dans les cases autour, les œuvres de l’artiste en question. Pour cerner à la fois l’univers et l’auteur, la relation entre l’œuvre et son créateur, l’imaginaire et l’imaginant, le lien métaphysique et organique entre l’Art et le monde, Pygmalion dans tes yeux, wesh t’as vu. Bref, j’ai pondu ça.
N’hésitez pas à visiter la galerie des gribouillis, elle est mise à jour.
Si vous traînez ici depuis un moment ou sur le net en général, vous connaissez probablement l’Odieux Connard.
Si vous ne connaissez pas : sous cet aimable sobriquet se cache un blogueur qui s’emploie à raconter et démonter chirurgicalement les absurdités qu’il trouve dans les films, les médias ou dans les faits de sociétés plus généralement.
Il se trouve qu’il publie un second livre, en papier et tout, qui sortira tout bientôt. Et pour l’occasion, nous avons réalisé une vidéo-dessinée reprenant l’un des chapitres dudit livre. Tant qu’à faire, allez lire l’article de son blog qui explique tout ça aussi bien voire mieux que moi.
Pour les impatients, la vidéo est ici, là, juste en dessous. Voilà.
(Même chanson que d’habitude : regardez directement sur Youtube pour avoir une meilleure résolution)
Bien entendu, nous réitèrerons l’expérience si des milliards de personnes voient la vidéo, l’aiment, la partagent, nous couvrent de fric et de coke et me présentent personnellement Scarlett Johansson. Mais je m’égare.
À la prochaine, bande de chenapans.
Pour bien entamer la semaine, je vous propose une nouvelle leçon-vidéo-dessin toute neuve. Ne me remerciez pas, c’est normal.
(Comme d’habitude, allez directement sur Youtube pour avoir une meilleure résolution d’image. Hop hop.)
Et remercions Marie tous ensemble bien en chœur pour sa participation.
À la prochaine !
Une brève BD en quatre petites cases aujourd’hui. Mais c’est une histoire authentique. Rendez-vous la semaine prochaine, lundi, pour une nouvelle leçon de dessin en vidéo !
Oui, c’est déjà fini, je vous avais prévenus en même temps. Bande de galopins.
Bon d’accord. Alors en bonus, une gribouille faite un soir ou je n’avais que ça à faire.
Les enfants, réveillez-vous, c’est Pâques !
Enfin c’était Pâques. Il y a un moment, même. Bref, aujourd’hui, c’est BD, et ça parle de Pâques, que diable !
C’est tout pour aujourd’hui, chenapans ! Rendez-vous vendredi pour une BD courte, puis la semaine prochaine pour une nouvelle vidéo qui vous branchera à coup sûr (ceci est un jeu de mot pourri que vous ne comprendrez qu’une fois la vidéo publiée. Je suis un visionnaire).
Aujourd’hui, nous parlons commerce en une case.
EDIT : un auteur de renom, Marc Dubuisson, a eu la même idée quelques semaines avant moi.
Je rassure ceux qui croiraient à un éventuel plagiat : il n’en est rien. Le jour où j’utiliserai les œuvres des autres pour ma gloire personnelle, j’arrêterai le dessin. Qu’on se le dise.
C’est ce qu’on appelle l’économie solidaire.
Sinon, ce dimanche, j’ai gribouillé ça.