Qui n’a jamais chantonné de petites comptines à ses charmants bambins pour tenter (vainement) d’atténuer leurs cris et râles maléfiques ? Avouez-le, vous vous êtes déjà adonné à cette pratique.
Alors qu’il suffit en général, comme je ne cesse de le répéter, d’un bon coup sec sur la nuque pour calmer le marmot. Mais passons.
Nous avions déjà traité la chanson de la souris verte et ses paroles improbables ou encore de l’univers particulier de Frère Jacques, ci-dessous.
Aujourd’hui, continuons dans notre lancée et attaquons-nous promptement et avec entrain à cette chère alouette, si gentille alouette.
Alors assez de blabla et place aux gribouillis !
Et voilà ! Ah, je ne sais pas vous, mais moi, les comptines, ça me donne la patate.
En bonus aujourd’hui : Un petit gribouillis fait à l’occasion de la mouvance webique « Art vs artist » qui fleurit sur la toile depuis quelques jours. Vous trouverez tout plein d’exemples en cliquouillant ici.
Le principe : faire un petit montage en neuf cases avec au milieu une photographie de la tronche de l’artiste et, dans les cases autour, les œuvres de l’artiste en question. Pour cerner à la fois l’univers et l’auteur, la relation entre l’œuvre et son créateur, l’imaginaire et l’imaginant, le lien métaphysique et organique entre l’Art et le monde, Pygmalion dans tes yeux, wesh t’as vu. Bref, j’ai pondu ça.
N’hésitez pas à visiter la galerie des gribouillis, elle est mise à jour.
2 réflexions sur “Alouette, gentille alouette…”