
Ceci est un article proprement scandaleux présentant honteusement une bande dessinée vieille de sept ou huit ans. J’avais donc en toute logique 18/19 ans. Je vous entends huer, conspuer et râler comme de vieilles biquettes affolées, mais ne paniquons point.
Non, l’auteur de ces lignes ne manque pas d’inspiration ; nous pourrions même dire que les idées coulent à flot.
Non, l’auteur de ces lignes n’est pas débordé comme un ministre au point d’en oublier son cher, son fidèle, son merveilleux lectorat toujours prêt à sacrifier des nourrissons ou tout autre animal domestique pour de nobles causes.
Il se trouve simplement que les journées manquent d’heures. Je suis actuellement en train de chercher une solution scientifique pour ralentir le temps et me permettre de goupiller tous mes projets actuels (qui se constituent d’événements à base de japonais qui dessinent, d’étudiantes en furie débattant en amphithéâtre sur la sexualité dans le travail social, de gribouillages associatifs dans des pubs irlandais ou encore de robots qui pratiquent la corde à sauter. Tout un programme).
En attendant d’y parvenir, pour vous faire patienter et comme je sais que certains commencent à s’ouvrir les veines devant l’attente insoutenable, voici donc cette fameuse vieillerie, cette bande dessinée réalisée à l’époque pour un fanzine qui m’a permis de rencontrer mes futurs partenaires des 23hBD 2016 (partenaires composés notamment d’une femme-bambou, d’un homme-ballon de basket et d’un hipster à barbe rousse).
Mais nous y reviendrons très bientôt…
En attendant, assez de blabla, place aux (vieux) gribouillis !
Cette fin est tellement expédiée que Chronopost lui a attribué un numéro de suivi. En même temps, je ne vous ai pas demandé votre avis. Enfin si, vous pouvez l’écrire dans les commentaires en fait. Mais je ne vous le demande pas, vous le faites de votre propre chef. La différence est subtile.
Sinon vous connaissez celle du roux qui est fou ? C’est un rouquin marteau. Voilà.
Je vais prendre un cachet. Ou deux.
Toi, si t’es pas un fan de Gotlib, tu fais bien semblant.
Non faut dire « Poulop t’es un dieu, fais-moi l’amour, on dirait du Gotlib »
Voilà, Merci Pioulonel Bebecadum. Un peu de rigueur, que diable.
Poulop vous êtes un con
Non, je te l’ai déjà dit : tu m’aimes.
Ca ne t’empêche pas d’être un con. Les cookies carrefour en sont la preuve!
« VÔTRE AMOUR A L’AUTEUR ! »
Et un roux dans lequel on enferme des gens ?
un rougeole.
*s’enfuit en courant*
Je suis quasiment sûr de l’identité de la personne qui a écrit cette somme astronomique de jeux de mots douteux. Ce ne peut être que l’œuvre d’un guerrier pacifiste.
Hey pas con je me demandais qui cela pouvait être. Je l’avais oublié le chauve