Une souris verte…

Poulop une chanson
Je me trouve décidément bien bon.

C’est la rentrée ! Alors, mesdames et messieurs, je vous le demande : quoi de mieux qu’une bonne vieille comptine pour démarrer cette année scolaire qui s’annonce encore plus fofolle que la précédente ?

Et des comptines il y en a, pour sûr. Mais l’une d’elle revient. Sans cesse. Depuis la nuit des temps. On la chantonne à tous les bambins dès qu’ils osent réclamer une chanson ou quelconque signe d’attention. Personne ne sait pourquoi, mais elle comble les attentes. Et ce depuis au moins 200 ans ! (véridique).

N’attendons pas plus, lançons-nous ! C’est l’heure de la comptine, c’est l’heure de la chanson, c’est l’heure de… la souris verte.

Hebergeur d'image

C’est tout pour aujourd’hui ! À très bientôt avec une petite histoire animalière, si tout va bien.

23 réflexions sur “Une souris verte…

  1. Contes et comptines pour enfants où comment générer de futurs sociopathes, psychopathes, schizophrènes, encoprétiques, énurétiques, etc… Ceci dit j’ai bien ri!

  2. Ah mais voilà aussi! On sort les phrases de son contexte alors bon. Déjà une culotte c’est pas forcément un slibard. De un. De deux… Euh….. qu’as-tu fais de mes souvenir d’enfance :(….Sob…

    1. J’y ai pensé pour la culotte mon bon monsieur ! Mais aujourd’hui, on n’explique pas pour autant ce qu’était une culotte à l’époque. Donc l’image qu’ils en ont reste celle d’un vieux slip avec une souris dedans. Oui monsieur !

  3. « Une bonne chose de faite. Je prendrais bien un petit gin, tiens ! »
    Bah ouais, l’inspiration ça se trouve pas comme ça, bordel.

  4. Halala… Les comptines que l’on chante pour nos joyeux bambins permettent de leur transmettre nos plus belles vertus. Adultère, viol, cannibalisme, torture.

    Certes, parfois un peu dissimulé, par une jolie contrepetterie :
    Il court, il court, le furet
    Le furet du bois, mesdames,
    Il court, il court, le furet,
    Le furet du bois joli.
    Il est passé par ici,
    Il repassera par là

    Ou une métaphore :
    À la pêche aux moules, moules, moules
    Je n’veux plus y aller maman
    Les gens de la ville, ville, ville
    M’ont pris mon panier maman

    Mais parfois, c’est on ne peut plus clair :
    Au bout de cinq à six semaines,
    Les vivres vin- vin- vinrent à manquer Ohé ! Ohé ! (refrain)
    On tira à la courte paille,
    Pour savoir qui, qui, qui serait mangé, Ohé ! Ohé ! (refrain)
    Le sort tomba sur le plus jeune,
    Le mousse qui, qui, qui s’mit à pleurer Ohé ! Ohé ! (refrain)
    On cherche alors à quelle sauce,
    Le pauvre enfant, -fant, -fant sera mangé, Ohé ! Ohé ! (refrain)

    La petite souris verte, qui est une chanson datant de la révolution, serait donc l’histoire d’un soldat en uniforme vert (peut-être un garde de paris ou un cavalier) qui, manque de pot pour lui, se serait fait capturer, puis envoyé à la torture.
    Après l’huile bouillante et la simulation de noyade, on obtient un prisonnier en position foetale.
    Mais ce n’est pas tout ! Car il est ensuite enfermé dans un cachot dans lequel son geôlier un peu chaud lapin ne manque pas de lui présenter toute son affection (le chapeau étant un symbole de virilité et de domination).
    Je vous laisse donc apprécier le raffinement de la chute de cette jolie petite comptine « elle me fait 3 petites crottes ».

    Souvenirs d’enfance et insouciance infantile… ❤

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