C’est la rentrée ! Alors, mesdames et messieurs, je vous le demande : quoi de mieux qu’une bonne vieille comptine pour démarrer cette année scolaire qui s’annonce encore plus fofolle que la précédente ?
Et des comptines il y en a, pour sûr. Mais l’une d’elle revient. Sans cesse. Depuis la nuit des temps. On la chantonne à tous les bambins dès qu’ils osent réclamer une chanson ou quelconque signe d’attention. Personne ne sait pourquoi, mais elle comble les attentes. Et ce depuis au moins 200 ans ! (véridique).
N’attendons pas plus, lançons-nous ! C’est l’heure de la comptine, c’est l’heure de la chanson, c’est l’heure de… la souris verte.
C’est tout pour aujourd’hui ! À très bientôt avec une petite histoire animalière, si tout va bien.
Coucou les amigos. Ceci est une petite BD faite complètement à l’arrache pour vous expliquer les raisons de mon absence passée et à venir. Mais je reviendrai. Dédicace à tous ceux qui se tapent un mémoire en ce moment même.
Si vous êtes un citoyen lambda intégré à la société moderne, tel un fonctionnaire marié et avec deux gosses qui n’attend que le barbecue du dimanche pour se mettre en short / tongs et montrer à quel point vos talents de joueur de ping-pong peuvent être impressionnants, vous êtes probablement, à l’heure où vous lisez ces lignes, en vacances.
Quoi de plus intéressant alors que de s’adonner à un petit jeu récréatif sur ce même thème ?
Rien, voilà, c’est ça.
Laissez donc vos marmots aller se baigner et se faire écorcher par un ou deux oursins, et suivez les cases : aujourd’hui, c’est vous qui racontez l’histoire !
Voilà les enfants, à bientôt pour un prochain jeu dessiné estival. Qu’on se le dise.
Un beau jour, alors que je me baladais tranquillement dans un petit bois de Gironde lors d’une belle journée ensoleillée, un individu, visiblement pris d’hystérie étant donné qu’il se prenait pour un panda, croisa ma route et mon regard dans le même temps. Le saluant courtoisement comme la bienséance le suggère, quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’il prononça soudainement, et non moins brutalement les mots suivants :
« PIOU PIOU PIOU PIOOOUUUUUUUU »
Surprenant, vous en conviendrez. Je réalisai alors bien vite qu’un sort venait de s’abattre sur moi : je ne pouvais dès lors dessiner que des poussins. Des putains de poussins. Une voix céleste me confirma la nouvelle d’un ton rauque :
La douleur. Allégorie n°2.
« Ô grand Poulop, Pour te défaire de la terrible malédiction des Pious qui vient de s’abattre sur toi, tu devras poster sur ta page Facebook – Oui, c’est une voix céleste qui vit avec son temps – un dessin représentant un poussin. Les vils internautes cliqueront sur « j’aime » d’un geste haineux et sans scrupule, et tu devras alors réaliser un dessin totalisant autant de poussins que de « j’aime » cliqués ! »
Et là, bande d’infâmes sadiques sans pitié ni scrupules que vous êtes, vous avez cliqué 139 fois. 139 satanées fois. Je vous ai haïs, traités de tous les noms, j’ai insulté bon nombre de vos génitrices, mais aujourd’hui je peux le dire : j’ai rempli ma mission et me suis libéré (le premier qui dit « délivré » se prend une taloche dans les narines) de cette vile malédiction.
Chers amis, voici donc, après tant de blabla, la petite BD du monde des Pious ! Avec non pas 139 mais 190 petits pious. Enfin vers là. Comptez-donc si ça vous amuse.
Cliquez sur le gribouillis pour l’agrandir si besoin.
Piou.
Victoire, l’affaire est close ! Il ne me reste maintenant plus qu’à aller désigner moi-même les prochains malheureux dessineux qui devront se coller ce merveilleux défi à vomir sur des chatons pour boucler la boucle. Je mettrai ça sur ma page facebook.
Rendez-vous la semaine prochaine pour une prochaine BD, qui, si tout va bien, devrait se dérouler dans un univers… girly. Oui.
Je vous laisse, j’ai à m’occuper.
Si j’écris ces lignes, c’est à cause de votre sadisme sans limite. En ce moment, un défi tourne chez les dessineux sur facebook : le défi « piou-piou ».
Sous ce nom bigrement recherché se cache un challenge qui l’est tout autant consistant, une fois désigné par un mesquin collègue dessineux, à poster sur sa page Facebook un dessin de poussin tout mimi tout gentil, et d’attendre que les gens cliquent sur « j’aime », puisqu’ils n’ont rien d’autre à faire.
Le dessinateur déchu devra ensuite réaliser un dessin qui totalisera autant de poussins (dits « pious ») que de « j’aime » récoltés. Voilà. Sauf que sur ma page facebook bien-aimée, vous avez été 133 à cliquer.
Par conséquent, hormis le fait que je vais probablement envoyer des mecs sonner chez vous pour vous régler votre compte un par un, ce dessin piou-piou va prendre du retard. Disons qu’on va essayer de le finir pour lundi ou mardi. Vous voilà prévenus. Mais c’est de votre faute.
En attendant, si vous vous ennuyez de moi, je vous propose plusieurs choses : d’abord, vous pouvez venir causer sur ma page facebook. Puis, dans un élan d’humeur communicative, vous avez la possibilité folle de me rejoindre sur twitter pour parler en 140 caractères. Enfin, si vraiment vous n’en pouvez plus d’attendre, vous pouvez toujours aller visiter la page de la liste de tous les articles régulièrement mise à jour ou aller faire un tour chez les liens à droite dans la catégorie « les cancres du net ».
Bon, ça en fait du blabla ! Je vous laisse donc avec une vieille BD, parce qu’ici, il y a toujours un gribouillis à la clé. Celui qui suit a été réalisé au début de l’année 2012. Bonne lecture.
De l’amour et de la tendresse. ‘Y a que ça de vrai, bordel.
Sur ces entrefaites, je vous laisse, j’ai des pious à broyer dessiner.
Il y a certains jours où l’envie de dessiner s’envole, telle un pigeon citadin qui aurait pris la poudre d’escampette devant un chauffard pressé de se garer en rentrant de sa promenade familiale dominicale. Et il y a d’autres jours où on pond des trucs comme ce qui suit. Je vous laisse avec ce modeste gribouillis.
N’oubliez pas de le montrer à tous vos proches et connaissances, des fois que vous ne trouviez pas toutes les bêtises cachées ici et là.
Je vous laisse, c’est la pause.
Si vous lisez ceci c’est que soit vous avez triché, soit vous avez perdu 5 minutes de votre vie sur ce dessin. Vous le valez bien.
Chers lecteurs, chères lectrices et chers transexuels,
L’auteur de ce blog est actuellement occupé par une semaine quelque peu chargée. Il n’y aura donc pas de nouvelle BD ici avant la semaine prochaine, si tout va bien.
Pour me faire pardonner, veuillez cependant accepter cette vieillerie sortie du placard : une petite histoire muette que j’avais réalisée à l’époque, en 2006, pour un fanzine dont les survivants se comptent sur les doigts d’une main (ou d’un pied, c’est selon).
Nature, enfance et gaieté se mêlent dans ces quelques pages qui raviront les bambins avant d’aller dormir, à n’en pas douter. A la semaine prochaine, donc.
C’est terminé ! A bientôt pour une nouvelle histoire folle, l’histoire mystérieuse qui est arrivée à votre serviteur lors d’une récente soirée : l’histoire fascinante de Patrick Gérard.
Je vous laisse, c’est l’heure de la débauche.
Les amis, c’est l’heure du débriefing. Les 23 heures de la BD se sont terminées hier à 13h pétantes.
Qu’est-ce donc, les 23hBD ? Eh bien toutes les explications sont ici : clic magique.
Pour faire bref, : 23 heures, 23 pages de BD à réaliser à partir d’un thème donné le moment venu et une contrainte. Ici, le thème était Les naufragés, et la contrainte de faire apparaître David Hasselhoff portant un T-shirt avec l’inscription « I love Piak » dans la BD. Simple, quoi. L’ami Monkibe (venu pour l’occasion de Paris pour y participer) et moi-même avons donc laissé sueur et larmes dans l’accomplissement de ces heures dessin. Pour consulter les réalisations des autres participants aux 23hBD, c’est par là.
Mais arrêtons la parlotte,je vous laisse un résumé en 5 petites cases de ce week-end fou, à la suite de quoi vous pourrez lire la BD que j’ai réalisée dans la fatigue, les convulsions et le sang. Et en bonus, des photos de « l’atelier » aménagé pour l’occasion dans mon modeste chez-moi.
Maintenant que vous avez capté l’ambiance qui régnait ici, je vous laisse avec la BD. Cliquez donc dessus pour la voir en plus grand.
Bonne lecture !
Vous êtes encore là ? Très bien. N’hésitez pas à me laisser un petit mot pour me donner votre avis, j’aime quand vous me dites que vous m’aimez.
Comme je suis un homme bon, je vous laisse le bonus promis en début d’article : les quelques photos de notre atelier de dessin.
Vous savez tout ! Merci d’avoir eu le courage de lire jusqu’ici et à la prochaine les enfants !
Ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de broyer du noir et du blanc à la fois. Grand généreux que je suis (décidément, ça me perdra), je vous en donne l’occasion en exclusivité avec ces quelques images qui ressemblent peu aux travaux habituellement exposés ici. Ne vous inquiétez pas cependant, un article plein de beaux dessins rigolos arrive bientôt, le temps que je finisse de brûler quelques chariots de bébés chats. Oui, je suis un homme occupé.