Aujourd’hui, paf pouf, on rime.
Divers
Gribouille de bouilles 2
Maintenant que nous en avons fini avec Le massacre des princesses Disney en bonne et due forme, envoyons une nouvelle salve de portraits réalisés comme ça, en laissant traîner le crayon à l’envie.
Vous pouvez lire la présentation de tous ces trublions en description de chaque image.
Ah et n’oublions pas que ce week-end, on fait les 23 heures de la bande dessinée !
Gribouille de bouilles
En parallèle à mes princesses Disney adorées que je massacre en ce moment (la prochaine devrait arriver mardi), j’ai entamé une série de tronches, de bouilles, de trognes, de faces, de gueules qui me permettent de laisser aller le crayon et le feutre sans trop réfléchir. Alors comme ici, on aime partager, partageons ! Vous pouvez lire la présentation de tous ces trublions en description de chaque image.
Top 14 des Princesses Disney MORTES
Chers lecteurs, chères lectrices, c’est l’heure de faire l’unique, le seul, le dantesque Top 14 des princesses Disney MORTES !
Dites au revoir à votre enfance et autres concepts futiles à base d’innocence et rendez-vous une ou deux fois par semaine pour remonter jusqu’au Top 1.
Je tiens à remercier tout particulièrement le jury officiel de ce Top 14 composé de trois individus aussi aimables qu’étranges et qui se reconnaîtront bien assez vite.
Nous commençons donc avec la 14ème place de ce Top, attribué à la belle, glaciale et insupportable Elsa de La Reine des Neiges !
14ème place : La Reine des Neiges
Le Grand Cerf
C’est le début d’année, vous vous êtes tous probablement remis de votre lendemain de soirée nauséeux sans pour autant assumer votre état de fin de soirée, alors quoi de mieux qu’une petite comptine gribouillée ? Hein ?
Pour les curieux, on a déjà chanté d’autres comptines ici et là.
Voilà, vous pouvez retourner à vos occupations préférées, comme enfiler des perles ou brûler des yeux de chatons.
La faim damnée
Cher internautes, lecteurs et lectrices de tous horizons ou vagabonds égarés dans ces contrées pour je ne sais quelle raison plus ou moins saine, il est venu le temps de clôturer cette année 2016 qui a bien fait son temps.
Tâchez de survivre à ces derniers jours, hein, parce qu’entre guerre civile par ci, génocide de chanteurs / stars de notre enfance par là ou encore attentats saupoudrés ici et là, ça devient compliqué, cette affaire. Heureusement que le Papa Noël a apporté des chocolats. Ça aide.

Je vous laisse ainsi en compagnie de quelques gribouillis postés sur les réseaux sociaux ces derniers temps, pour ceux qui les auraient loupés ou qui n’auraient pas encore de compte Facebook / instagram / Tinder / Twitter (quoi ? Vous n’êtes pas encore connectés au monde entier, l’œil vissé à l’écran et la bave pendouillant à votre lèvre et votre narine droite ? Fichtre).
Plusieurs projets sont déjà dans les starting-blocks comme toujours, notamment des gags sur la vie de Jean-Léopold, notre terroriste adoré ou encore des trucs qui blesseront votre âme d’enfant comme jamais auparavant. Ne prenez pas cet air surpris, vous savez très bien qu’ici, on s’emploie à éradiquer toute trace d’innocence.
Nous continuerons également à jouer, vous savez qu’ici on adore ça, plus particulièrement au jeu des trois mots, dont le dernier-né apparaît ci-dessous sous votre air ébahi par tant de merveilles, c’est trop, non vraiment, n’en faites pas tant, vous me faites rougir.
Les trois mots choisis par une mystérieuse lectrice basque étaient Licorne, Esquimau et Baobab.
Souhaitons à chacun plein de bonnes choses, ne soyez surtout pas sages, soyez têtus et bornés à outrance tant que vous écoutez les autres, dites les choses et révoltez-vous sans jamais vous arrêter.
Je vous laisse, j’ai un café sur le feu.
On dirait du Gotlib…
Je n’étais pas triste dimanche, j’étais en colère. Oui parce qu’aujourd’hui là, le 6 décembre, c’est un jour un peu spécial pour moi, vous savez, ce satané putain de bordel de jour où on souffle les bougies. Et lui il clamse deux jours avant. C’est pas un cadeau ça. Non, vraiment pas.
La seule chose que je peux faire, c’est raconter ce qu’il m’a donné, le Marcel. Il m’a donné envie de dessiner pour de bon. Et pas qu’un peu, hein, plutôt dans le genre à passer des journées entières penché sur mes feuilles à gratter le crayon, gommer, non, mouarf, c’est moche, on recommence, allez, mais rhâââ, comment il fait ce Gotlib pour faire aussi bien ?
Ma mère m’a dit qu’un jour, après avoir lu des tartines de ses planches jusqu’à l’indigestion, je suis venu la voir et je lui ai dit « maman, je veux devenir dessinateur ».
Bon aujourd’hui, je ne suis toujours pas dessinateur (ça reste un loisir), mais l’intention y était.
Gotlib a pour moi compris comment unifier encre de Chine et feuille de papier à la perfection. Le type a atteint la substantifique moelle de ce qu’on peut transmettre par l’image. Ce mec est un bulldozer d’imagination, une explosion atomique de puissance du trait et des mots. Ouais, rien que ça. Il peut vous faire piquer un fou rire, vous faire pleurer, vous dézinguer un truc qui l’énerve, relever toute l’absurdité du monde tout en restant honnête, sincère, humble et attendrissant. Ce n’est pas rien.
Alors oui hein, ‘y en a plein d’autres qui savent faire ça. Mais lui c’était un peu celui que je préférais.
Maintenant, on va arrêter de se lamenter et se bouger le derrière pour continuer à bosser. Parce que ce n’est pas en pleurnichant qu’on mène les projets à termes et qu’on avance, sinon on finit dessinateur de presse autoproclamé à gribouiller des machins sans forme, sans style, sans vie, donc on ajoute un chat pour faire plaisir au public, parce que bon, internet aime les chats, quoi.
Quand t’es un gamin qui grandit dans un quartier dit « défavorisé », que t’entends à longueur de temps des adultes dire que tel copain est « en échec scolaire », « en difficultés », a besoin de « soutien scolaire », et que l’autre là, il ne fera jamais de longues études, que bon, déjà s’il arrive à avoir son brevet ce sera bien, ah et puis bon, il a des « difficultés de compréhension » puis quand même, celui-là c’est un « élément perturbateur », petit à petit, tu développes un truc, une espèce de sentiment de défi. J’étais bon élève, mais mes cancres de potes en prenaient plein la tronche.
On te lance ces mots comme si c’était tracé. Ben oui, après tout on fait partie de la classe prolétaire. Alors des années plus tard, quand on croise ces mêmes adultes et qu’on leur met leur bêtise devant la tronche en leur racontant ce qu’on est devenu et qu’on voit ce regard gêné, cette insatisfaction de prédicateur à deux balles, cette espèce de moue si caractéristique des adultes-je-sais-tout qui se trompent et se salissent le slip en prenant le retour de balle en pleine face, on jubile. Beaucoup.
Renvoyons cordialement dans des moissonneuses-batteuses ces gens-là.
Gotlib a montré qu’on pouvait devenir un grand artiste en partant de rien. Alors bon, si ça marche, pourquoi on ferait pas pareil, les copains ?
Des dragons, des enfants et de l’anarchie
Chers lecteurs, chères lectrices, il est temps de faire un point. Ces derniers temps, depuis début mai pour être précis, il y a moins de bandes dessinées « bloguesques » (c’est-à-dire toutes en longueur, comme on fait ici d’habitude), mais ça ne bosse pas moins pour autant, juste que l’activité est plus accrue sur les réseaux.
Bon, je glande un peu aussi à côté de ma table à dessin à l’occasion, mais n’allez pas me les casser, j’ai bien le droit. Nom d’une poutre tombée sur un nourrisson.
Les réseaux, parlons-en ! La chaîne Youtube a atteint récemment plus de 1000 abonnés, notamment grâce à la vidéo réalisée avec l’Odieux Connard, ou la dernière venue, « Comment bien dessiner un politicien…« . Une bonne chose, donc, qui nous rapproche à grand pas de la conquête de la galaxie.
C’est sur la page Facebook que ça s’emballe un peu ces derniers temps, notamment par le biais de dessins de dragons. Une lubie passagère ou un fétichisme étrange de ma part, je vous laisse choisir. Je vous les mets du plus petit au plus grand.
Bonus à ce dessin : un piou sur la tête de Krillin.
Alors bien sûr, on s’intéresse aussi aux choses sérieuses comme la politique, la crise sociale en France et l’éducation des enfants. Voyez plutôt.
Et ça peut même parfois tourner à l’anarchie totale lorsque les lecteurs viennent se mêler de mes histoires.
On remercie le sieur Jo’Reeman pour son intervention spontanée lors de la publication du dessin.
Et pour finir il arrive également, dans des accès de folie ou d’égarement de mes neurones, que je fasse des trucs étranges comme dessiner Rondoudou, alpaguer des gens sur Snapchat en leur envoyant des dessins au hasard ou encore regarder la nouvelle émission d’Arthur (avant de fuir rapidement m’injecter du ciment dans les yeux).
Vous êtes désormais à jour sur mes activités wébiques, il y a toujours des projets en cours, donc passez par ici à l’occasion.
Ah oui, et j’oubliais : moi aussi, j’ai décoré ma photo de profil perso facebook avec les filtres photo personnalisables. Allez les bleus.

El 23 heures Del ã BD
Bonjour à tous et toutes !
Aujourd’hui, c’est une annonce + un petit jeu participatif à votre intention (et un gribouillis, bien entendu, pour accompagner).
Les 23 heures de la BD arrivent à grand pas (les 26 et 27 mars), et de mon côté, ce sera l’occasion de monter sur la capitale. Tout d’abord, les « 23HBD », c’est quoi ? C’est ça.
L’année dernière, l’exercice a donné cette BD réalisée de 13h le samedi à 9h30 le dimanche (soit 20h30 non-stop de dessin acharné).
Cette année, je remets donc le couvert dans la région parisienne en compagnie de trois fous furieux du crayon : le bondissant Ceddo, la délurée Bambou et le roux Monkibe.
Nous organiserons deux équipes : Ceddo et Bambou contre Monkibe et moi-même. Donc deux BD de 23 pages en 23 heures, que je relaierai ici. Et on mettra sûrement plein de photos sur mon Snapchat (cherchez un certain poulop33).
Pour ajouter un petit grain de folie à cette folle entreprise, j’ai eu l’idée de vous demander une contrainte qui viendrait s’ajouter au thème et à la contrainte officiels des 23hBD.
Alors lâchez-vous, si cela vous dit, et ajoutez une contrainte de dessin (s’il y en a des marrantes, on en prendra probablement une par dessineux).
Exemples de contrainte : dessiner une carotte qui parle dans l’histoire, faire dix cases muettes d’affilée, faire apparaître un personnage schyzophrène…
Dernière chose : si certains parisiens traînent dans le coin, je serai sur Paris dès le vendredi 25 mars à 13h, ainsi que le lundi qui suit, la journée jusqu’à 18h environ. Si certains veulent organiser une rencontre / boire un verre / planter des choux dans ces créneaux là, je serai en errance, donc tout disposé ! N’hésitez pas à me contacter en cliquant sur l’onglet « Contacter l’auteur » tout en haut, là, voilà.
J’en ai fini. En espérant vous voir nombreux dans le coin !

































