Toujours soucieux d’être à la pointe de la mode, ce blog se dépoussière un peu. On refait la déco, mais pas que. Suivez le guide.
Nous commençons, comme vous l’avez forcément remarqué à moins d’avoir une fourchette plantée dans chaque œil, par la bannière et l’arrière-plan du blog, désormais tapissé de pious. Oui, j’assume leur présence même si je ne cesserai de les torturer dans mes BD.
Ensuite, une petite nouveauté visible à la fois dans les onglets juste en dessous de la bannière et dans la colonne de droite, en descendant un petit peu : la galerie des gribouillis.
Pour ne plus rien rater des mes sottises, que vous soyez ou non sur les réseaux sociaux. Cliquez-y : chaque dessin a une légende pour expliquer son existence ou son sens caché profond et torturé.
Enfin, rappelons que ceux qui souhaitent avoir une visibilité sur l’ensemble des BD du blog (hormis la galerie des gribouillis, donc), vous avez toujours la liste des BD, par ordre antéchronologique.
Si vous voulez crier au scandale, me baiser les orteils ou m’expliquer que vous ne savez pas ce que signifie « antéchronologique », je vous invite à laisser un commentaire ici, sur Facebook ou sur Twitter. Nous verrons comment y remédier.
J’en ai terminé ! Finissons sur un petit gribouillis fait pour le boulot, pour une raison obscure impliquant de la boue, des arbres et des enfants. Voilà une bonne chose de faite. À la revoyure !
Bonjour, amis du web et de l’humour bissextile. Aujourd’hui, et c’est – normalement – la dernière fois, je vous parle de mon mémoire. Je vous ai expliqué, lors du dernier gribouillis, ma méthode bien personnelle pour le réaliser. Voici donc, pour compléter la vision, la méthode utilisée pour engager la réflexion. Les dessins qui suivent servent d’illustration au dit mémoire, en espérant que mon cher jury les appréciera.
Alors bien entendu, vous imaginez qu’en finir avec ce dur labeur m’a soulagé. Un peu comme ce qui suit.
Voilà. J’arrête de vous harceler avec ce sujet, nous allons donc revenir dès aujourd’hui aux fondamentaux. À savoir du grand n’importe quoi, principalement. Autant commencer de suite.
J’ai parfaitement le droit de pondre ce genre de trucs après un mémoire. Si si.
À bientôt pour de nouvelles aventures avec, si tout va bien, une comptine bien sentie.
Râler est un exercice que l’on pourrait qualifier de sport national. Jusque dans le patrimoine français, nous avons laissé des traces de notre capacité à ne pas être contents et à le montrer. C’est précisément l’un des buts de la caricature : soulever des dysfonctionnements et les absurdités de notre monde, le tout avec humour. Et cela ne remonte pas à hier, ma bonne dame, ça non ! Cet article l’expliquera mieux que mon blabla inutile et convenu.
Une fois cela dit, passons à notre BD du jour. Pour en comprendre les mille et unes subtilités, je vous invite avant tout à lire (ou relire, fripons !) cette petite BD que j’avais gribouillée, ainsi que les deux premiers commentaires qui ont suivi. Ça aide à la compréhension.
Sur ce, assez de blabla, place aux gribouilles !
C’est tout pour aujourd’hui, bande de filous ! J’en profite pour vous signaler que le blog va un peu ralentir le rythme cet été, pour cause de mémoire à préparer, enfin une bagatelle, quoi. Mais je serai tout de même dans les parages. Tout près.
Aujourd’hui, je vous propose un exercice qui peut être formateur pour celui qui s’y essaye, comme totalement déprimant : le remake. L’idée est de prendre un vieux dessin, fait il y a quelques années, et de le refaire aujourd’hui avec les moultes capacités acquises entretemps.
Ici, j’ai choisi un dessin qui représentait ma version personnelle du Petit Prince, réalisé en mai 2008. Le voici.
A l’époque, je n’en étais pas peu fier. Non mais.
Allez savoir pourquoi, j’ai décidé de me refaire ce petit gribouillis, à la sauce juillet 2015. La composition de l’image était selon moi trop centrée et quelques éléments, comme les fissures de la planète, ne me semblaient pas satisfaisants. Alors voilà le gribouillis d’aujourd’hui. (Cliquouillez pour agrandir)
Le remake, ou le travail de feignasse par excellence. Un scandale.
Alors je vois déjà venir les petits malins : « haaaan mais moi je préférais le premier, il y a une meilleure ambiance et un aspect feutré / pastel enfin je ne sais trop quoi de mieux ! ». Cette remarque est déjà parvenue jusqu’à mes chastes oreilles, et votre avis m’intéresse donc. Alors, 2008 ou 2015 ? Pour vous aider à aiguiser votre avis, voici les deux gribouillis côté-à-côte.
Darwin lui-même serait dépassé par tant d’évolution.
Voilà donc pour aujourd’hui les amis ! Non, pas de sang, pas de fureur, pas de pious. Laissez-moi tranquille un peu ! Je me soigne ! Une prochaine BD bien cynique et furieuse devrait arriver la semaine prochaine si les fêtes de Pampelune ne m’emportent pas en enfer. Rassurez-vous donc. D’ici là, bon vent à tous !
L’autre jour, vaquant à de lumineuses occupations telles que ronger un ongle ou gratter le lobe de mon oreille gauche, je reçus un message électronique fort bien courtois me présentant une requête ma foi bien singulière. Voyez plutôt.
Une demande qui laisse rêveur.
Ni une ni deux, j’ai sauté sur mon clavier pour répondre par l’affirmative puisque, comme je le dis souvent, il faut toujours essayer de s’aventurer dans des chemins inconnus et mystérieux (ce qui m’a valu plus d’un réveil tortueux, auprès de compagnies à l’allure encore plus tortueuse, mais passons). Cependant, à mon grand dam, aucune réponse de la part de notre internaute n’arriva en retour.
C’est pour cela que j’ai décidé de passer un petit instant girly avec vous ici-même, au cas où le bonhomme viendrait à repasser par ici. Comme ça, il ne pourra pas louper la démonstration.
Mais assez de blabla, passons aux gribouillis ! (et cliquez pour voir en plus grand. Mais si.)
Rassurez-vous : aucun lave-linge n’a été maltraité pendant la réalisation de cette BD.
Si après ça je ne suis pas embauché… C’est tout pour aujourd’hui, bande de freluquets ! A bientôt les enfants.
Amis de l’internet, bien le bonjour.
Baroudant ici et là au gré du vent et de mes humeurs, j’ai atterri ce samedi dans un lieu bigrement particulier : Selles-sur-Cher. Charmante bourgade ne payant pas de mine, le lieu accueillait un événement aussi étrange que sympathique : le festival des Geek Faëries. Oui, j’ai dit « Geek », ne partez pas, voyons, attendez un peu ! Parce que si le geek a beau être mystérieux, différent et baveux au premier abord, il n’en reste pas moins extrêmement agréable en général quand il daigne s’éloigner de son PC watercoolé à 86 Go de RAM et 32 cœurs de processeur.
Votre aimable serviteur a donc eu la chance d’assister à des combats d’épéistes (avec de vraies lames en métal), des concerts d’ocarina (avec de la vraie musique) ou encore des matchs de Quidditch sur gazon (avec de vrais gens qui volent sur des balais).
Non vraiment, regardez sur Youtube un match de quidditch. C’est assez formidable.
L’ambiance était ainsi très bonne, et elle le fut plus encore lorsque j’ai pu croiser le blogueur l’Odieux Connard. Présent au festival à l’occasion de la sortie de son livre (que je vous conseille), j’ai pu le rencontrer, papoter et assister à sa conférence (enfin plutôt un échange avec le public) qui valait son pesant de pistaches. Tout ça pour dire que… Ben que j’ai fait deux nouveaux dessins tirés de son univers (qui, je le rappelle, est composé principalement de démontage de mauvais films, d’annihilation de blogueuses mode et de GHB dans les verres de demoiselles peu farouches avant de les enterrer dans un sous-bois).
Allez donc voir le blog du monsieur, vous passerez un bon moment et perdrez probablement votre innocence.
Pour ceux qui veulent en savoir plus sur ces Geek Faëries, rendez-vous sur leur site.
Mais assez de blabla, place aux gribouillis.
Il paraît que les adolescentes dégénérées font un excellent engrais naturel. A tester.
Le second est tiré d’une imitation de l’Odieux de ce à quoi doit ressembler l’écriture d’un scénario à Hollywood pendant la conférence. J’ai repris l’idée et ça a donné ça.
Des couleurs faites à la main. Enfin au feutre, vu que mes doigts ne génèrent pas encore d’encre de couleur naturellement. J’en connais quelques unes qui auraient trouvé ça problématique.
Et voilà, vous savez tout sur ce samedi fou.
Si certains sont intéressés, j’avais fait d’autres dessins pour l’Odieux Connard, visibles ici en fin d’article et là.
Un autre gribouillis arrivera dans la semaine si tout va bien, étant donné que le voyage en train m’a permis d’être productif. C’est le bon côté d’être incapable de dormir dans les transports.
Je vous laisse, j’ai un café sur le feu.
Sombrons ensemble dans la dictature du divertissement de consommation le temps d’un article. A moins d’être enfermés dans un bunker depuis le 20 décembre 2012 et d’attendre d’en sortir pour aller trouver les autres survivants de l’Apocalypse, ce qui serait tout de même de bonne foi, je l’admets, vous avez probablement ouï dire que deux blockbusters font parler d’eux en ce moment. Avengers : l’Ère d’Ultron d’un côté, sorte de Kamoulox cinématographique regroupant un travesti qui fait des éclairs avec son marteau, un cosplayer américain qui utilise une grande assiette pour se protéger, une racaille qui se met dans une colère verte pour un oui ou pour un non et un snob milliardaire qui essaye de jouer à Batman, mais en rouge et jaune. Sans compter Barbie et Ken qui jouent à l’arc et au déhanché dans leur temps libre.
De l’autre côté, nous avons Star Wars : le réveil de la Force. Que dire de plus ? Si vous ne connaissez pas, je ne peux rien faire pour vous. Pour résumer : des chevaliers de l’espace qui se battent avec des néons colorés, des pistolets lasers qui font « piou piou » et des robots qui font « prout ». En gros.
Pour célébrer cette arrivée de films qui, à n’en pas douter, relègueront Citizen Kane au rang de film d’étudiant fauché, nous avons, avec les collègues dessineux traînant sur Facebook, lancé un appel à dessin sur le thème : Avengers vs Star Wars. Pour le plaisir de dessiner n’importe quoi, tout simplement. Et quelques uns ont répondu à l’appel en nous gratifiant de leur talent.
Mais assez de blabla, voici donc la galerie regroupant les œuvres de chacun (en commençant par la mienne, non mais oh, nous sommes sur mon blog tout de même). Vous trouverez en lien leurs sites et blogs respectifs. N’hésitez pas à aller passer un moment chez eux, ils font de belles choses et sont très accueillants. Place aux gribouillis !
De manière réaliste et au vu de l’angle d’attaque et de la théorie de la relativité d’Einstein, je n’ai fichtrement aucune idée de l’issue de ce combat.
Participation de Depaz : Howard le canard vs Dark Vador
Oui, Howard le canard est bien un personnage Marvel. Étrangement pourtant, ils ne l’ont pas mis dans Avengers alors qu’il a à peu près autant de charisme que Captain America.
Participation de Hibouch : Thor vs Empereur Palpatine
Mais… ça bouge ? Des images qui BOUGENT ? Parbleu.
Il paraît que c’est génial pour découper un bon rôti.
Voilà les amis ! Merci à tous les fous du crayon qui se sont donnés la peine de participer. Si vous gribouillez un peu, n’hésitez pas à envoyer vos participations et un lien vers votre site / blog / bunker, je les publierai ici même, dans le monde libre de l’internet.
L’Homme est un être de débat. Partout, où qu’il aille et de tout temps, il a cette faculté de déblatérer des discours plus ou moins organisés et construits autour de sujets plus ou moins intéressants, de la signification de la fin du dernier film de Michael Keaton à l’utilisation des points d’exclamation dans les sms. Que du bonheur.
Il se trouve que ces derniers temps, j’ai eu l’occasion de participer à quelques débats, quelle chance, autour du thème du talent artistique et du don. Voici donc, rien que pour vous, mon ressenti au sortir de ces échanges passionnés et enflammés. Place aux gribouillis !
Voilà ! Vous savez maintenant tout. Allez, un cadeau bonus, je sens que vous voulez voir un dernier crobard de ma période de CE1 :
Notez les vers de terre dans le bec des volatiles. Ah mais on a le sens du détail ou on ne l’a pas.
Avouez-le, vous êtes jaloux de tant de talent don. Allez hop, c’est l’heure du café.
Pour ceux qui veulent aller plus loin et avoir des explications plus scientifiques, je vous conseille la lecture de cet article.
En ce vendredi 13, oui parfaitement, vendredi 13, un grand bouleversement se réalise : le blog emménage ici. Fini over-blog ! Nous migrons désormais sur wordpress, ce qui ne change pas grand chose pour vous en fait mis à part l’adresse internet. Mais vous n’allez pas râler non plus, m’enfin que vous êtes pénibles ! Voici donc la nouvelle URL à utiliser désormais pour votre blog préféré :