Comment bien dessiner la Reine des Neiges… 3

Bien le bonjour, amis du net.
Vous le savez, ici on essaye depuis un certain temps de dessiner correctement Elsa, fier personnage principal du caca sans nom film de Disney : La Reine des Neiges. Le tout en vidéo ! Alors bon, les deux premières tentatives ont un peu dérapé. Vous pouvez les regarder ici et .
Comme le dessin sur feuille de donnait rien, il a fallu tout reprendre à zéro. Voici donc, chers lecteurs et internautes sans peur et sans reproche, la troisième tentative de gribouillage de la Reine des Neiges, grâce à l’idée de projet originale d’une certaine Laura. Je vous en reparle juste après.
(Comme d’habitude, regardez directement sur Youtube pour une meilleure résolution d’image. Mais revenez après. Non mais.)

Vous êtes toujours là ? Parfait. Ce projet est donc issu de l’imagination de Laura Van Puymbroeck, jeune photographe talentueuse, qui m’a demandé de participer à une séance de dessin sur corps humain. Vivant, le corps, je le précise.
Quoi de plus naturel alors que de faire sortir Elsa des entrailles du modèle qui s’est gracieusement porté volontaire ? Mais assez de parlotte, voici les photos du résultat.

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Et en bonus du bonus : Le créateur et sa création.
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Pour conclure, remercions Ty Bo, le pauvre modèle passé sous mes feutres, pour sa patience et sa bonne humeur.

A bientôt les amis, avec une bonne BD comme vous les aimez : verticale et frappée comme il faut.

 

Comment bien caricaturer.

Râler est un exercice que l’on pourrait qualifier de sport national. Jusque dans le patrimoine français, nous avons laissé des traces de notre capacité à ne pas être contents et à le montrer. C’est précisément l’un des buts de la caricature : soulever des dysfonctionnements et les absurdités de notre monde, le tout avec humour. Et cela ne remonte pas à hier, ma bonne dame, ça non ! Cet article l’expliquera mieux que mon blabla inutile et convenu.

Une fois cela dit, passons à notre BD du jour. Pour en comprendre les mille et unes subtilités, je vous invite avant tout à lire (ou relire, fripons !) cette petite BD que j’avais gribouillée, ainsi que les deux premiers commentaires qui ont suivi. Ça aide à la compréhension.

Sur ce, assez de blabla, place aux gribouilles !

Hebergeur d'imageC’est tout pour aujourd’hui, bande de filous ! J’en profite pour vous signaler que le blog va un peu ralentir le rythme cet été, pour cause de mémoire à préparer, enfin une bagatelle, quoi. Mais je serai tout de même dans les parages. Tout près.

S’il vous plaît, redessine-moi un vieux gribouillis

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Chers amis du web, bien le bonjour.

Aujourd’hui, je vous propose un exercice qui peut être formateur pour celui qui s’y essaye, comme totalement déprimant : le remake. L’idée est de prendre un vieux dessin, fait il y a quelques années, et de le refaire aujourd’hui avec les moultes capacités acquises entretemps.

Ici, j’ai choisi un dessin qui représentait ma version personnelle du Petit Prince, réalisé en mai 2008. Le voici.

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A l’époque, je n’en étais pas peu fier. Non mais.

Allez savoir pourquoi, j’ai décidé de me refaire ce petit gribouillis, à la sauce juillet 2015. La composition de l’image était selon moi trop centrée et quelques éléments, comme les fissures de la planète, ne me semblaient pas satisfaisants. Alors voilà le gribouillis d’aujourd’hui. (Cliquouillez pour agrandir)

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Le remake, ou le travail de feignasse par excellence. Un scandale.

Alors je vois déjà venir les petits malins : « haaaan mais moi je préférais le premier, il y a une meilleure ambiance et un aspect feutré / pastel enfin je ne sais trop quoi de mieux ! ». Cette remarque est déjà parvenue jusqu’à mes chastes oreilles, et votre avis m’intéresse donc. Alors, 2008 ou 2015 ? Pour vous aider à aiguiser votre avis, voici les deux gribouillis côté-à-côte.

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Darwin lui-même serait dépassé par tant d’évolution.

Voilà donc pour aujourd’hui les amis ! Non, pas de sang, pas de fureur, pas de pious. Laissez-moi tranquille un peu ! Je me soigne ! Une prochaine BD bien cynique et furieuse devrait arriver la semaine prochaine si les fêtes de Pampelune ne m’emportent pas en enfer. Rassurez-vous donc. D’ici là, bon vent à tous !

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Ah ben merde, en fait j’ai craqué.

 

Le monde des Pious

Allégorie de la joie.

Un beau jour, alors que je me baladais tranquillement dans un petit bois de Gironde lors d’une belle journée ensoleillée, un individu, visiblement pris d’hystérie étant donné qu’il se prenait pour un panda, croisa ma route et mon regard dans le même temps. Le saluant courtoisement comme la bienséance le suggère, quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’il prononça soudainement, et non moins brutalement les mots suivants :

« PIOU PIOU PIOU PIOOOUUUUUUUU »

Surprenant, vous en conviendrez. Je réalisai alors bien vite qu’un sort venait de s’abattre sur moi : je ne pouvais dès lors dessiner que des poussins. Des putains de poussins. Une voix céleste me confirma la nouvelle d’un ton rauque :

La douleur. Allégorie n°2.

« Ô grand Poulop, Pour te défaire de la terrible malédiction des Pious qui vient de s’abattre sur toi, tu devras poster sur ta page Facebook – Oui, c’est une voix céleste qui vit avec son temps – un dessin représentant un poussin. Les vils internautes cliqueront sur « j’aime » d’un geste haineux et sans scrupule, et tu devras alors réaliser un dessin totalisant autant de poussins que de « j’aime » cliqués ! »

Et là, bande d’infâmes sadiques sans pitié ni scrupules que vous êtes, vous avez cliqué 139 fois. 139 satanées fois. Je vous ai haïs, traités de tous les noms, j’ai insulté bon nombre de vos génitrices, mais aujourd’hui je peux le dire : j’ai rempli ma mission et me suis libéré (le premier qui dit « délivré » se prend une taloche dans les narines) de cette vile malédiction.
Chers amis, voici donc, après tant de blabla, la petite BD du monde des Pious ! Avec non pas 139 mais 190 petits pious. Enfin vers là. Comptez-donc si ça vous amuse.

Cliquez sur le gribouillis pour l’agrandir si besoin.

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Piou.

Victoire, l’affaire est close ! Il ne me reste maintenant plus qu’à aller désigner moi-même les prochains malheureux dessineux qui devront se coller ce merveilleux défi à vomir sur des chatons pour boucler la boucle. Je mettrai ça sur ma page facebook.

Rendez-vous la semaine prochaine pour une prochaine BD, qui, si tout va bien, devrait se dérouler dans un univers… girly. Oui.
Je vous laisse, j’ai à m’occuper.

Morceau de vie

Si j’écris ces lignes, c’est à cause de votre sadisme sans limite. En ce moment, un défi tourne chez les dessineux sur facebook : le défi « piou-piou ».
Sous ce nom bigrement recherché se cache un challenge qui l’est tout autant consistant, une fois désigné par un mesquin collègue dessineux, à poster sur sa page Facebook un dessin de poussin tout mimi tout gentil, et d’attendre que les gens cliquent sur « j’aime », puisqu’ils n’ont rien d’autre à faire.
Le dessinateur déchu devra ensuite réaliser un dessin qui totalisera autant de poussins (dits « pious ») que de « j’aime » récoltés. Voilà. Sauf que sur ma page facebook bien-aimée, vous avez été 133 à cliquer.

Par conséquent, hormis le fait que je vais probablement envoyer des mecs sonner chez vous pour vous régler votre compte un par un, ce dessin piou-piou va prendre du retard. Disons qu’on va essayer de le finir pour lundi ou mardi. Vous voilà prévenus. Mais c’est de votre faute.

En attendant, si vous vous ennuyez de moi, je vous propose plusieurs choses : d’abord, vous pouvez venir causer sur ma page facebook. Puis, dans un élan d’humeur communicative, vous avez la possibilité folle de me rejoindre sur twitter pour parler en 140 caractères. Enfin, si vraiment vous n’en pouvez plus d’attendre, vous pouvez toujours aller visiter la page de la liste de tous les articles régulièrement mise à jour ou aller faire un tour chez les liens à droite dans la catégorie « les cancres du net ».

Bon, ça en fait du blabla ! Je vous laisse donc avec une vieille BD, parce qu’ici, il y a toujours un gribouillis à la clé. Celui qui suit a été réalisé au début de l’année 2012. Bonne lecture.

Morceau de vie
De l’amour et de la tendresse. ‘Y a que ça de vrai, bordel.

Sur ces entrefaites, je vous laisse, j’ai des pious à broyer dessiner.

Un odieux festival

Amis de l’internet, bien le bonjour.
Baroudant ici et là au gré du vent et de mes humeurs, j’ai atterri ce samedi dans un lieu bigrement particulier : Selles-sur-Cher. Charmante bourgade ne payant pas de mine, le lieu accueillait un événement aussi étrange que sympathique : le festival des Geek Faëries. Oui, j’ai dit « Geek », ne partez pas, voyons, attendez un peu ! Parce que si le geek a beau être mystérieux, différent et baveux au premier abord, il n’en reste pas moins extrêmement agréable en général quand il daigne s’éloigner de son PC watercoolé à 86 Go de RAM et 32 cœurs de processeur.
Votre aimable serviteur a donc eu la chance d’assister à des combats d’épéistes (avec de vraies lames en métal), des concerts d’ocarina (avec de la vraie musique) ou encore des matchs de Quidditch sur gazon (avec de vrais gens qui volent sur des balais).

Non vraiment, regardez sur Youtube un match de quidditch. C’est assez formidable.

L’ambiance était ainsi très bonne, et elle le fut plus encore lorsque j’ai pu croiser le blogueur l’Odieux Connard. Présent au festival à l’occasion de la sortie de son livre (que je vous conseille), j’ai pu le rencontrer, papoter et assister à sa conférence (enfin plutôt un échange avec le public) qui valait son pesant de pistaches. Tout ça pour dire que… Ben que j’ai fait deux nouveaux dessins tirés de son univers (qui, je le rappelle, est composé principalement de démontage de mauvais films, d’annihilation de blogueuses mode et de GHB dans les verres de demoiselles peu farouches avant de les enterrer dans un sous-bois).
Allez donc voir le blog du monsieur, vous passerez un bon moment et perdrez probablement votre innocence.

Pour ceux qui veulent en savoir plus sur ces Geek Faëries, rendez-vous sur leur site.

Mais assez de blabla, place aux gribouillis.

Selfie OC
Il paraît que les adolescentes dégénérées font un excellent engrais naturel. A tester.

Le second est tiré d’une imitation de l’Odieux de ce à quoi doit ressembler l’écriture d’un scénario à Hollywood pendant la conférence. J’ai repris l’idée et ça a donné ça.

scénaristes bureau
Des couleurs faites à la main. Enfin au feutre, vu que mes doigts ne génèrent pas encore d’encre de couleur naturellement. J’en connais quelques unes qui auraient trouvé ça problématique.

Et voilà, vous savez tout sur ce samedi fou.
Si certains sont intéressés, j’avais fait d’autres dessins pour l’Odieux Connard, visibles ici en fin d’article et .

Un autre gribouillis arrivera dans la semaine si tout va bien, étant donné que le voyage en train m’a permis d’être productif. C’est le bon côté d’être incapable de dormir dans les transports.
Je vous laisse, j’ai un café sur le feu.

La grande maison

Il y a certains jours où l’envie de dessiner s’envole, telle un pigeon citadin qui aurait pris la poudre d’escampette devant un chauffard pressé de se garer en rentrant de sa promenade familiale dominicale. Et il y a d’autres jours où on pond des trucs comme ce qui suit. Je vous laisse avec ce modeste gribouillis.
N’oubliez pas de le montrer à tous vos proches et connaissances, des fois que vous ne trouviez pas toutes les bêtises cachées ici et là.
Je vous laisse, c’est la pause.

La grande maison Si vous lisez ceci c’est que soit vous avez triché, soit vous avez perdu 5 minutes de votre vie sur ce dessin. Vous le valez bien.

Comment on filme un dessin ?

Bien le bonjour.
Aujourd’hui, point de nouveau dessin ! Mais en contrepartie, une nouvelle vidéo. Comme certains d’entre vous m’ont posé quelques questions sur le mode de réalisation de mes vidéos dessinées, je vous ai concocté un petit making of pour vous montrer un peu comment qu’on fait. Point de blabla supplémentaire, cliquez donc les amis ! (Comme d’habitude pour une meilleure résolution, regardez directement sur Youtube).
Pour voir la vidéo originale concernée cliquez promptement ici-même.

En bonus aujourd’hui : Les étapes du dessin Hulk vs Yoda

Ce blog devient de plus en plus animé, c’est fou.

 

Comment bien dessiner Elsa de la Reine des Neiges ?

Certaines choses sont tellement ancrées dans les mœurs qu’elles en deviennent évidentes naturellement et acceptées par l’ensemble de la société. C’est le cas par exemple pour certains films considérés comme « classiques » : personne ne remettra en cause un Chaplin ou un Fritz Lang, tant leurs œuvres sont encensées. Un autre exemple plus récent existe, on le doit à Disney. Grande compagnie créatrice de rêves et d’arc-en-ciels enchanteurs, leur dernier succès incontesté se nomme nonchalamment La Reine des Neiges. Et d’expérience, je peux vous assurer que peu de gens remettent en cause la qualité de ce truc film merveilleux.
Bref, je suis sûr d’une chose : vous avez déjà dû baver devant les images incroyables du long-métrage animé en pensant « oh, mais que j’aimerais savoir dessiner Elsa qui chante sa super chanson trop bien hihihihihi ! ».
Eh bien les amis, n’allez pas plus loin et cliquez sur la vidéo ci-dessous.

Bon et soyez indulgents hein, c’est ma première vidéo. Non mais.

En bonus aujourd’hui : rien à voir avec la choucroute, voici le dernier dessin pour ce cher Odieux Connard, dont l’un des articles m’a inspiré (clic clic pour agrandir).

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Avouez que ça vous donne envie de regarder l’horizon lointain en pensant très fort au sens de la vie.

Je vous laisse, c’est la pause.