Aujourd’hui, c’est une annonce + un petit jeu participatif à votre intention (et un gribouillis, bien entendu, pour accompagner).
Les 23 heures de la BD arrivent à grand pas (les 26 et 27 mars), et de mon côté, ce sera l’occasion de monter sur la capitale. Tout d’abord, les « 23HBD », c’est quoi ? C’est ça.
L’année dernière, l’exercice a donné cette BD réalisée de 13h le samedi à 9h30 le dimanche (soit 20h30 non-stop de dessin acharné).
Cette année, je remets donc le couvert dans la région parisienne en compagnie de trois fous furieux du crayon : le bondissant Ceddo, la délurée Bambou et le roux Monkibe.
Nous organiserons deux équipes : Ceddo et Bambou contre Monkibe et moi-même. Donc deux BD de 23 pages en 23 heures, que je relaierai ici. Et on mettra sûrement plein de photos sur mon Snapchat (cherchez un certain poulop33).
Pour ajouter un petit grain de folie à cette folle entreprise, j’ai eu l’idée de vous demander une contrainte qui viendrait s’ajouter au thème et à la contrainte officiels des 23hBD.
Alors lâchez-vous, si cela vous dit, et ajoutez une contrainte de dessin (s’il y en a des marrantes, on en prendra probablement une par dessineux).
Exemples de contrainte : dessiner une carotte qui parle dans l’histoire, faire dix cases muettes d’affilée, faire apparaître un personnage schyzophrène…
Dernière chose : si certains parisiens traînent dans le coin, je serai sur Paris dès le vendredi 25 mars à 13h, ainsi que le lundi qui suit, la journée jusqu’à 18h environ. Si certains veulent organiser une rencontre / boire un verre / planter des choux dans ces créneaux là, je serai en errance, donc tout disposé ! N’hésitez pas à me contacter en cliquant sur l’onglet « Contacter l’auteur » tout en haut, là, voilà.
J’en ai fini. En espérant vous voir nombreux dans le coin !
Tout va bien. Je reviens bientôt avec de nouvelles bêtises toutes fraîches.
Ceci est un article proprement scandaleux présentant honteusement une bande dessinée vieille de sept ou huit ans. J’avais donc en toute logique 18/19 ans. Je vous entends huer, conspuer et râler comme de vieilles biquettes affolées, mais ne paniquons point.
Non, l’auteur de ces lignes ne manque pas d’inspiration ; nous pourrions même dire que les idées coulent à flot.
Non, l’auteur de ces lignes n’est pas débordé comme un ministre au point d’en oublier son cher, son fidèle, son merveilleux lectorat toujours prêt à sacrifier des nourrissons ou tout autre animal domestique pour de nobles causes.
Il se trouve simplement que les journées manquent d’heures. Je suis actuellement en train de chercher une solution scientifique pour ralentir le temps et me permettre de goupiller tous mes projets actuels (qui se constituent d’événements à base de japonais qui dessinent, d’étudiantes en furie débattant en amphithéâtre sur la sexualité dans le travail social, de gribouillages associatifs dans des pubs irlandais ou encore de robots qui pratiquent la corde à sauter. Tout un programme).
En attendant d’y parvenir, pour vous faire patienter et comme je sais que certains commencent à s’ouvrir les veines devant l’attente insoutenable, voici donc cette fameuse vieillerie, cette bande dessinée réalisée à l’époque pour un fanzine qui m’a permis de rencontrer mes futurs partenaires des 23hBD 2016 (partenaires composés notamment d’une femme-bambou, d’un homme-ballon de basket et d’un hipster à barbe rousse).
Mais nous y reviendrons très bientôt…
En attendant, assez de blabla, place aux (vieux) gribouillis ! Cette fin est tellement expédiée que Chronopost lui a attribué un numéro de suivi. En même temps, je ne vous ai pas demandé votre avis. Enfin si, vous pouvez l’écrire dans les commentaires en fait. Mais je ne vous le demande pas, vous le faites de votre propre chef. La différence est subtile.
Sinon vous connaissez celle du roux qui est fou ? C’est un rouquin marteau. Voilà.
Je vais prendre un cachet. Ou deux.
« Gros gland galeux. »
Son regard avait changé d’une seconde à l’autre. Elle me fixait, là, impassible. « Plaît-il ?, lui répondis-je, circonspect.
– Gros, gland, galeux, répéta Églantine. Ce sont les trois mots que je te donne.
– Tu es sûre de ton choix ? Parce qu’il y a plein d’autres mots rigolos, du genre frigo, bébé, brocolis, ou encore carrousel, saltimbanque, cucurbitacée… »
Malgré mon argumentation de choc, elle ne bronchait pas. Un vent frais s’était levé, longeant le quai et provoquant un léger frisson dans mon cou.
« Relèves-tu le défi ou non ?, renchérit-elle.
– Je ne sais pas… J’ai peur du résultat que cela pourrait donner. Tu sais, j’ai de la famille qui vient voir le blog. Des amis. Des relations de travail, et même quelques universitaires. Dessiner quelque chose d’après ces trois mots pourrait se révéler… Fatal. »
Tandis que je commençais à céder à la panique, Églantine commença à ranger ses affaires et se leva du banc sur lequel nous étions installés.
« Tu me déçois, Poulop », lança-t-elle en même temps qu’un regard mi-triste, mi-empathique.
Elle se retourna pour partir. Allais-je renoncer ? Une panique totale m’envahissait, une goutte de sueur perlait sur mon front, ma respiration s’emballait quand soudainement, en un bond, je l’arrêtai et lui barrai le passage.
« D’accord. Je vais le faire. »
Elle m’observa d’un air satisfait, esquissa un sourire discret puis tourna les talons avant de disparaître dans un coin de rue sombre et pavé. De mon côté, je rentrai chez moi, m’installai devant une feuille de papier A4 accompagnée d’un café qu’on pût qualifier de volcanique.
Et j’ai pondu ça.
Ma main tremblante reposa le stylet ayant servi à la colorisation sur ma chère tablette graphique. Qu’avais-je donc fait ?
Avant de mettre en ligne cette bande dessinée, je décidai de la montrer à Églantine pour avoir son avis. Elle était connectée à Facebook. Je lui envoyai alors le dessin, le réseau social m’indiquant aussitôt qu’elle l’avait bien reçue et lue.
Sa réponse fut simple, brève, claire : « huhu c’est drôle ! ». Le tout accompagné d’un smiley animé en forme de licorne.
Il était donc temps de publier. Songeant à tous mes lecteurs, toutes mes lectrices qui allaient découvrir cette œuvre, les yeux humides, le cœur emballé, j’entrai le mot de passe du compte d’administration du blog, mis l’article en forme, et tout en imaginant toutes les désastreuses conséquences de mon acte, cliquai sur « publier ».
Il y a quelque chose de bien humain dans la notion du lancer de défis. Qui d’autre en effet qu’un être doué de conscience s’efforcerait de tenter quelque chose d’inconscient pour la seule et simple raison qu’il a justement conscience de l’inconscience de son acte ? Vous avez deux heures. Pendant que vous faites fondre votre cerveau en réfléchissant au sens profond de la précédente phrase ou que vous essayez de vous enfoncer l’œil gauche dans l’orbite devant tant de philosophie de comptoir au rabais, laissez-moi vous présenter ce qui va suivre dans l’article :
1- Les défis à thèmes des lecteurs malsains que vous êtes. 2- Le challenge Inktober. 3- Les gribouilles ailleurs qu’ici, c’est-à-dire sur les réseaux sociaux. 4- Poulop à Paris.
Allons-y gaiement.
1- Les défis à thèmes des lecteurs malsains que vous êtes.
L’annonce des défis à thème posté sur la Page Facefook. Nous ne savions pas encore ce qui nous attendait.
Après cette courte BD de 9 pages, nous décidâmes, en bons vivants, d’aller réitérer l’expérience des défis à thème dans un bar, accompagnés de quelques lecteurs / amis / amis de lecteurs / licornes qui nous ont rejoints, voire nous ont fait quelques dessins également. Et là, entre visites de lecteurs, lectrices, shooters offerts par le barman pour cause de dessin d’ornithorynque ou encore abordage de tables voisines, voire de voisines tout court, je peux vous assurer que la soirée a été animée. En sont ressortis quelques gribouillis plutôt intéressants. Voyez plutôt.
Les premiers thèmes choisis furent les suivants (cliquez pour agrandir, manants !)
Le thème est écrit en titre de l’image ; son auteur également. La contrainte était de faire une illustration muette. Pour le coup, c’était plutôt simple.
Un autre exemple, réalisé cette fois par l’inénarrable Monkibe.
Au départ, le thème précisait « légumes verts ». Mais notre culture est limitée. Enfin surtout celle de Monkibe. Je dis ça, je dis rien. La contrainte, elle, était de placer Bob l’éponge et son pote, dont le nom ne me revient pas, dans le dessin. Je vous laisse le soin de les trouver.
La soirée s’est un peu emballée au bar, c’est peu de le dire, et les personnes nous ayant rendu visite n’ont pas manqué d’apporter leur grain de sel. Voici quelques œuvres issues des différentes propositions que certain(e)s nous ont faites directement sur place, pinte à la main et shooter dans l’autre.
Les premiers mots échangés avec la personne qui m’a demandé ce dessin furent « Bonjour, j’adore les licornes et les zombies » « Ah, si tu veux je te dessine une licorne-zombie » « D’accord ! ».Alors oui, il y avait un thème pour celui-là aussi. « Et si c’était la cheminée qui passait par le Père Noël et non l’inverse ? ». Thème donné par des esprits malades, vous en conviendrez.Un feu d’artifice avait lieu le même soir. Certains sont venus sécher leurs larmes dans le bar en participant aux défis de gribouillis.
Quand l’euphorie fut à son comble (et le taux d’alcoolémie dans le sang assez illégal), l’auteur de ces lignes s’est lancé le défi fou de réaliser un gribouillis à partir de trois mots choisis aléatoirement par l’assemblée, et ce en dix minutes maximum. L’assemblée a donc choisi « Space opéra », « trompette » et « lama ». Oui.
Le premier qui ose critiquer mon lama se prend un tentacule gauche dans les gencives. OUI C’EST UN LAMA. Sacrebleu.
Après le départ de Monkibe et son retour à la capitale, j’ai continué tel un névrosé à gribouiller comme un acharné en suivant les thèmes que vous aviez proposés (poil au nez).
Le thème était « le conseil de classe » et la contrainte de placer tous les mots que vous ne comprendrez pas dans le texte. Alors que moi, bien entendu, je les connaissais tous. Quelle question.Typiquement le genre de dessin qui procure un plaisir à la limite de l’orgasme en le dessinant.
Ainsi s’est terminée cette semaine placée sous le signe de l’improvisation dessinée. Mais les challenges ont continué, avec notamment l’arrivée du défi Inktober…
2- Le challenge Inktober.
Quelle sombre pratique cache donc cet étrange anglicisme ? C’est bien simple. Inktober propose à ceux qui aiment gribouiller de réaliser un dessin à thème par jour, et ce tout le long du mois d’octobre. Voici les cinq premiers dessins réalisés en début de mois.
Jour 1. Soyons gais.Jour 2. Avec un T-rex, tout est mieux.Jour 3. Même eux ont le droit de manifester, non mais.Jour 4 et 5. Petite explication : j’ai loupé le quatrième jour d’Inktober dont le thème était « Sioux ». Voilà l’erreur réparée. Quel truand je fais.Jour 6. Ce dessin est en réalité l’idée de départ qui m’avait conduit à dessiner ce gribouillis là. Tout est lié.
Vous pouvez aller consulter la participation de tout plein d’autres dessineux sur cette page Facebook.
3- Les gribouilles ailleurs qu’ici
Un point sur lequel je souhaitais revenir depuis un moment : je gribouille sur quelques réseaux. Alors quel intérêt d’aller ailleurs quand on peut lire mes âneries ici ? Eh bien, je vous le donne en mille : il y a des dessins que je ne poste que sur les réseaux, en particulier quand ils sont assez courts. Je privilégie le blog pour les BD plus longues, sauf exception. Alors allons-y gaiement, voici quelques unes de ces œuvres postées sur ma page facebook, mon compte twitter et mon tout nouveau compte instagram. En vrac.
Tout a du sens. Tout.Ce gribouillis peut être très bien compris comme très mal interprété. À vous de choisir.Toute ressemblance avec une personne existante serait purement fortuite. Pareil pour la mamie.Cela fait suite à la BD de la souris verte que j’avais gribouillée il y a peu. Pour rester dans la destruction d’innocence.Si vous vous reconnaissez dans Miss Valoute, veuillez insérer un lance-flammes dans l’un de vos orifices corporels et pressez la détente avec vigueur. Merci.
4- Poulop à Paris.
Terminons cette note de blog décidément très bavarde par l’événement du week-end : le festiblog (renommé « We Do BD »). Ce festival se déroulant dans la capitale, samedi et dimanche avec l’entrée gratuite, propose aux visiteurs de rencontrer pléthore de dessinateurs amateurs, professionnels, blogueurs BD, tout ça tout ça. Comme j’ai un blog, BD, paraît-il, j’y vais donc pour voir un peu la tête des blogueurs BD du coin. Si jamais vous voulez m’y croiser, n’hésitez pas à me contacter par le biais de ce blog (en haut de page, onglet « Contacter l’auteur« ), et on arrangera ça.
Nous arrivons ! On va leur montrer, aux Parisiens, de quel bois on se chauffe (Du pin des Landes, en général).
Sur ce, assez parlé, que diable ! Je vous laisse et je vous dis à la semaine prochaine pour de nouvelles aventures gribouillées.
Coucou les amigos. Ceci est une petite BD faite complètement à l’arrache pour vous expliquer les raisons de mon absence passée et à venir. Mais je reviendrai. Dédicace à tous ceux qui se tapent un mémoire en ce moment même.
Si vous êtes un citoyen lambda intégré à la société moderne, tel un fonctionnaire marié et avec deux gosses qui n’attend que le barbecue du dimanche pour se mettre en short / tongs et montrer à quel point vos talents de joueur de ping-pong peuvent être impressionnants, vous êtes probablement, à l’heure où vous lisez ces lignes, en vacances.
Quoi de plus intéressant alors que de s’adonner à un petit jeu récréatif sur ce même thème ?
Rien, voilà, c’est ça.
Laissez donc vos marmots aller se baigner et se faire écorcher par un ou deux oursins, et suivez les cases : aujourd’hui, c’est vous qui racontez l’histoire !
Voilà les enfants, à bientôt pour un prochain jeu dessiné estival. Qu’on se le dise.
L’autre jour, vaquant à de lumineuses occupations telles que ronger un ongle ou gratter le lobe de mon oreille gauche, je reçus un message électronique fort bien courtois me présentant une requête ma foi bien singulière. Voyez plutôt.
Une demande qui laisse rêveur.
Ni une ni deux, j’ai sauté sur mon clavier pour répondre par l’affirmative puisque, comme je le dis souvent, il faut toujours essayer de s’aventurer dans des chemins inconnus et mystérieux (ce qui m’a valu plus d’un réveil tortueux, auprès de compagnies à l’allure encore plus tortueuse, mais passons). Cependant, à mon grand dam, aucune réponse de la part de notre internaute n’arriva en retour.
C’est pour cela que j’ai décidé de passer un petit instant girly avec vous ici-même, au cas où le bonhomme viendrait à repasser par ici. Comme ça, il ne pourra pas louper la démonstration.
Mais assez de blabla, passons aux gribouillis ! (et cliquez pour voir en plus grand. Mais si.)
Rassurez-vous : aucun lave-linge n’a été maltraité pendant la réalisation de cette BD.
Si après ça je ne suis pas embauché… C’est tout pour aujourd’hui, bande de freluquets ! A bientôt les enfants.
Un beau jour, alors que je me baladais tranquillement dans un petit bois de Gironde lors d’une belle journée ensoleillée, un individu, visiblement pris d’hystérie étant donné qu’il se prenait pour un panda, croisa ma route et mon regard dans le même temps. Le saluant courtoisement comme la bienséance le suggère, quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’il prononça soudainement, et non moins brutalement les mots suivants :
« PIOU PIOU PIOU PIOOOUUUUUUUU »
Surprenant, vous en conviendrez. Je réalisai alors bien vite qu’un sort venait de s’abattre sur moi : je ne pouvais dès lors dessiner que des poussins. Des putains de poussins. Une voix céleste me confirma la nouvelle d’un ton rauque :
La douleur. Allégorie n°2.
« Ô grand Poulop, Pour te défaire de la terrible malédiction des Pious qui vient de s’abattre sur toi, tu devras poster sur ta page Facebook – Oui, c’est une voix céleste qui vit avec son temps – un dessin représentant un poussin. Les vils internautes cliqueront sur « j’aime » d’un geste haineux et sans scrupule, et tu devras alors réaliser un dessin totalisant autant de poussins que de « j’aime » cliqués ! »
Et là, bande d’infâmes sadiques sans pitié ni scrupules que vous êtes, vous avez cliqué 139 fois. 139 satanées fois. Je vous ai haïs, traités de tous les noms, j’ai insulté bon nombre de vos génitrices, mais aujourd’hui je peux le dire : j’ai rempli ma mission et me suis libéré (le premier qui dit « délivré » se prend une taloche dans les narines) de cette vile malédiction.
Chers amis, voici donc, après tant de blabla, la petite BD du monde des Pious ! Avec non pas 139 mais 190 petits pious. Enfin vers là. Comptez-donc si ça vous amuse.
Cliquez sur le gribouillis pour l’agrandir si besoin.
Piou.
Victoire, l’affaire est close ! Il ne me reste maintenant plus qu’à aller désigner moi-même les prochains malheureux dessineux qui devront se coller ce merveilleux défi à vomir sur des chatons pour boucler la boucle. Je mettrai ça sur ma page facebook.
Rendez-vous la semaine prochaine pour une prochaine BD, qui, si tout va bien, devrait se dérouler dans un univers… girly. Oui.
Je vous laisse, j’ai à m’occuper.
Si j’écris ces lignes, c’est à cause de votre sadisme sans limite. En ce moment, un défi tourne chez les dessineux sur facebook : le défi « piou-piou ».
Sous ce nom bigrement recherché se cache un challenge qui l’est tout autant consistant, une fois désigné par un mesquin collègue dessineux, à poster sur sa page Facebook un dessin de poussin tout mimi tout gentil, et d’attendre que les gens cliquent sur « j’aime », puisqu’ils n’ont rien d’autre à faire.
Le dessinateur déchu devra ensuite réaliser un dessin qui totalisera autant de poussins (dits « pious ») que de « j’aime » récoltés. Voilà. Sauf que sur ma page facebook bien-aimée, vous avez été 133 à cliquer.
Par conséquent, hormis le fait que je vais probablement envoyer des mecs sonner chez vous pour vous régler votre compte un par un, ce dessin piou-piou va prendre du retard. Disons qu’on va essayer de le finir pour lundi ou mardi. Vous voilà prévenus. Mais c’est de votre faute.
En attendant, si vous vous ennuyez de moi, je vous propose plusieurs choses : d’abord, vous pouvez venir causer sur ma page facebook. Puis, dans un élan d’humeur communicative, vous avez la possibilité folle de me rejoindre sur twitter pour parler en 140 caractères. Enfin, si vraiment vous n’en pouvez plus d’attendre, vous pouvez toujours aller visiter la page de la liste de tous les articles régulièrement mise à jour ou aller faire un tour chez les liens à droite dans la catégorie « les cancres du net ».
Bon, ça en fait du blabla ! Je vous laisse donc avec une vieille BD, parce qu’ici, il y a toujours un gribouillis à la clé. Celui qui suit a été réalisé au début de l’année 2012. Bonne lecture.
De l’amour et de la tendresse. ‘Y a que ça de vrai, bordel.
Sur ces entrefaites, je vous laisse, j’ai des pious à broyer dessiner.